Anne Geneviève de Bourbon Condé (Image du Net)
PUBLICITE
… du samedi 26 octobre au dimanche 10 novembre 2013
Pour tout renseignement ou réservation :
Mail : foulques_danjou@voila.fr ; téléphone : 06.22.38.74.40
Une nouvelle pièce, "La Duchesse frondeuse", spécialement écrite
pour Montreuil-Bellay, sera créée sous la voûte de l’ancienne église des Grands
Augustins.
Une
fresque historique va évoquer la vie surprenante d’Anne-Geneviève de
Bourbon-Condé, duchesse de Longueville, femme d’exception pleine d’esprit, de
cœur et de chair qui anime encore les mémoires.
Mêlée
à toutes les intrigues de la cour du XVIIe, elle devint "l’âme
de la Fronde" contre l’autorité royale incarnée par la reine Anne
d’Autriche et le cardinal Mazarin. Pour tous les combats qu’elle a menés, la
duchesse de Longueville fut portée en disgrâce, et le château de
Montreuil-Bellay, héritage marital, devint une terre d’exil… mais aussi une
nouvelle orientation dans sa vie.
Le spectateur
est ainsi conduit à la rencontre d’autres
figures glorieuses, comme celles du duc de La Rochefoucauld, du prince de Condé,
du cardinal de Retz, du prince de Conti, de Charlotte de Montmorency… eux aussi
acteurs de cette (H)(h)istoire…
En 1, les Grands Augustins dans la ville, avant leur restauration.
.
.
L'entrée de la salle de spectacle.
L'intérieur de l'ancienne église restaurée.
L'ancienne église, qui faisait partie du monastère des Augustins implanté au XVIIème siècle dans la ville haute - quand celui des Bénédictins (les Nobis) l'est dans la ville basse au niveau de la rivière - devenue Temple de la Raison pendant la Révolution, a longtemps servi de garage de réparations pour les automobiles.
L'ancienne église, qui faisait partie du monastère des Augustins implanté au XVIIème siècle dans la ville haute - quand celui des Bénédictins (les Nobis) l'est dans la ville basse au niveau de la rivière - devenue Temple de la Raison pendant la Révolution, a longtemps servi de garage de réparations pour les automobiles.
Sauvée de la destruction à la suite des interventions, dans les années 1980, de l'Association montreuillaise des "Vieux Cailloux", elle a été magnifiquement restaurée grâce à Monsieur et Madame Wilbrenninck qui l'ont achetée et qui ont entrepris tous les travaux pour lui rendre sa splendeur passée.
Elle appartient maintenant aux Châtelains de Montreuil-Bellay.
*
* *
Anne Geneviève de
Bourbon-Condé, duchesse de Longueville, née en 1619 à Vincennes, Ile-de-France ; décédée en
1679 à Paris, fille d’Henri II de Bourbon, troisième prince de Condé
(1588-1646), et de
Charlotte de Montmorency.
- Ses frères et
sœur : Louis II de Bourbon, le Grand Condé, quatrième prince de Condé, duc
d’Enghien selon l’usage familial, le titre étant attribué au fils aîné
(1621-1686) ; Claire de Maillé ; Armand de Bourbon, prince de Conti
(1629-1666).
(Sources : Geneanet
et Bibliothèque JCR)
Mariée par son père au duc de Longueville, de 25 ans son aîné et déjà
doté d'une maîtresse, la duchesse de Montbazon, elle prend un amant, le
comte Maurice de Coligny qui, en 1644, se fait tuer pour elle en duel contre Henri II de Guise.
Entraînée dans la Fronde par son nouvel amant, La Rochefoucauld, elle y pousse à son tour le vicomte Henri de la Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de Turenne, amoureux d'elle, puis Charles Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale.
François de la Rochefoucauld, écrivain, moraliste et mémorialiste, son amant, écrit sur elle : Cette princesse avait tous les avantages et l'esprit et la beauté en si haut point et avec tant d'agrément que la nature avait pris plaisir de former un ouvrage parfait et achevé.
Elle termine sa vie dans la dévotion, tantôt à Port-Royal-des-Champs, tantôt au carmel du Faubourg Saint-Jacques, à Paris.
Entraînée dans la Fronde par son nouvel amant, La Rochefoucauld, elle y pousse à son tour le vicomte Henri de la Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de Turenne, amoureux d'elle, puis Charles Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale.
François de la Rochefoucauld, écrivain, moraliste et mémorialiste, son amant, écrit sur elle : Cette princesse avait tous les avantages et l'esprit et la beauté en si haut point et avec tant d'agrément que la nature avait pris plaisir de former un ouvrage parfait et achevé.
Elle termine sa vie dans la dévotion, tantôt à Port-Royal-des-Champs, tantôt au carmel du Faubourg Saint-Jacques, à Paris.
*
* *
Chacun peut participer à cette aventure historique en adhérant à
l’association FOULQUES
D’ANJOU auprès de son trésorier Jean
BERTAUD – Tel. : 02.41.67.23.97 / bertaud.jean@wanadoo.fr
*
* *
Pour consulter le compte rendu et des photos du spectacle, cliquer sur : Le spectacle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire